3éme forum économique sur l'Algérie
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3éme forum économique sur l'Algérie
200 investisseurs arabes prospectent en Algérie
Dans le cadre du 3e forum économique sur l'Algérie, troisième du genre destiné à faire connaître les opportunités d'investissement en Algérie, le président de la Chambre
algérienne de commerce et d'industrie, M. Brahim Bendjaber, a indiqué que les travaux de ce forum, dont le thème est "Algérie terre d'opportunités", et organisé en partenariat avec la revue "El-Iktissad wa Aamal", tourneront autour des secteurs à valoriser en termes d'investissement. Il évoquera, à ce titre, l'agroalimentaire, l'agriculture, notamment le développement de bassins laitiers, ainsi que la transformation des produis agricoles, en particulier, les produits laitiers.
Il évoquera également l'industrie, le tourisme et la pétrochimie. M. Bendjaber indiquera, néanmoins, qu'il reste beaucoup à faire pour favoriser l'investissement en Algérie. Il évoquera dans ce contexte les nombreux obstacles que rencontrent les hommes d'affaires désireux d'investir en Algérie. M. Bendjaber parlera en premier lieu du problème des visas d'entrée, lequel s'est dressé déjà devant les hommes d'affaires désirant participer à ce forum. Il évoquera également le problème du foncier qui reste toujours posé, et cela malgré les progrès réalisés en matière de législation. Il est question, en outre, de mettre en place une politique d'investissement et la création d'un organisme, lequel aura les prérogatives de lever les contraintes rencontrées par les investisseurs. M. Bendjaber parlera aussi des lourdeurs bureaucratiques qui rendent les processus d'investissement lourds et lents. Il citera en exemple le cas de Société maghrébine de produis chimiques et aluminium (SMPCA), créée en partenariat avec un opérateur tunisien.
Cette unité, d'une capacité de production de 20 000 de tonnes par an, sera inaugurée en février prochain à Oran. Néanmoins, l'investisseur a rencontré d'innombrables problèmes d'ordre bureaucratique, de l'obtention de l'accord du CPE, jusqu'à l'obtention du registre du commerce, opération, faut-il le préciser qui a pris 6 mois. Ce sont là les différentes contraintes qui font obstacle au développement des IDE en Algérie, lesquelles sont soulevées à chaque manifestation économique, comme c'était le cas lors du 10e forum des hommes d'affaires organisé en novembre 2006 à Alger.
Pour sa part, le directeur régional Afrique du Nord de la revue "El-Iktissad wa Aamal", M. Houssein Fawaz, a insisté sur le fait que les hommes d'affaires arabes ont également leurs préférences et les feront valoir au cours de ce forum. A noter que les investissements arabes ont atteint, au premier semestre de l'année 2007, 10 milliards de dollars, en attendant la réalisation des projets soumis au niveau de l'Andi, comme c'est le cas des projets d'Emaar, dont le montant des investissements est estimé à 25 milliards de dollars.
Il est à souligner qu'en matière de participation à ce forum, 270 hommes d'affaires sont inscrits pour la partie algérienne et 200 autres pour la partie arabe, dont 50 entreprises déjà implantées en Algérie, notamment 10 sociétés libanaises, 6 banques arabes implantées après leur participation au 1er forum en 2000, et 10 entreprises tunisiennes, dont Haier, Bifteca, Essalam Bank, El Nour Bank et la Société de développent nord africain. La Banque islamique de développement, le fonds arabe d'investissement, et le fonds monétaire arabe sont également attendus. Toutefois, M. Fawaz a souligné l'intérêt porté au secteur des télécoms et à celui de la pétrochimie.
En outre, il a annoncé que plusieurs sociétés seront récompensées lors du forum, notamment le groupe El Baraka, la Société bancaire arabe, et la société égyptienne Citadel Group.
Nacéra C. (La Tribune)
Dans le cadre du 3e forum économique sur l'Algérie, troisième du genre destiné à faire connaître les opportunités d'investissement en Algérie, le président de la Chambre
algérienne de commerce et d'industrie, M. Brahim Bendjaber, a indiqué que les travaux de ce forum, dont le thème est "Algérie terre d'opportunités", et organisé en partenariat avec la revue "El-Iktissad wa Aamal", tourneront autour des secteurs à valoriser en termes d'investissement. Il évoquera, à ce titre, l'agroalimentaire, l'agriculture, notamment le développement de bassins laitiers, ainsi que la transformation des produis agricoles, en particulier, les produits laitiers.
Il évoquera également l'industrie, le tourisme et la pétrochimie. M. Bendjaber indiquera, néanmoins, qu'il reste beaucoup à faire pour favoriser l'investissement en Algérie. Il évoquera dans ce contexte les nombreux obstacles que rencontrent les hommes d'affaires désireux d'investir en Algérie. M. Bendjaber parlera en premier lieu du problème des visas d'entrée, lequel s'est dressé déjà devant les hommes d'affaires désirant participer à ce forum. Il évoquera également le problème du foncier qui reste toujours posé, et cela malgré les progrès réalisés en matière de législation. Il est question, en outre, de mettre en place une politique d'investissement et la création d'un organisme, lequel aura les prérogatives de lever les contraintes rencontrées par les investisseurs. M. Bendjaber parlera aussi des lourdeurs bureaucratiques qui rendent les processus d'investissement lourds et lents. Il citera en exemple le cas de Société maghrébine de produis chimiques et aluminium (SMPCA), créée en partenariat avec un opérateur tunisien.
Cette unité, d'une capacité de production de 20 000 de tonnes par an, sera inaugurée en février prochain à Oran. Néanmoins, l'investisseur a rencontré d'innombrables problèmes d'ordre bureaucratique, de l'obtention de l'accord du CPE, jusqu'à l'obtention du registre du commerce, opération, faut-il le préciser qui a pris 6 mois. Ce sont là les différentes contraintes qui font obstacle au développement des IDE en Algérie, lesquelles sont soulevées à chaque manifestation économique, comme c'était le cas lors du 10e forum des hommes d'affaires organisé en novembre 2006 à Alger.
Pour sa part, le directeur régional Afrique du Nord de la revue "El-Iktissad wa Aamal", M. Houssein Fawaz, a insisté sur le fait que les hommes d'affaires arabes ont également leurs préférences et les feront valoir au cours de ce forum. A noter que les investissements arabes ont atteint, au premier semestre de l'année 2007, 10 milliards de dollars, en attendant la réalisation des projets soumis au niveau de l'Andi, comme c'est le cas des projets d'Emaar, dont le montant des investissements est estimé à 25 milliards de dollars.
Il est à souligner qu'en matière de participation à ce forum, 270 hommes d'affaires sont inscrits pour la partie algérienne et 200 autres pour la partie arabe, dont 50 entreprises déjà implantées en Algérie, notamment 10 sociétés libanaises, 6 banques arabes implantées après leur participation au 1er forum en 2000, et 10 entreprises tunisiennes, dont Haier, Bifteca, Essalam Bank, El Nour Bank et la Société de développent nord africain. La Banque islamique de développement, le fonds arabe d'investissement, et le fonds monétaire arabe sont également attendus. Toutefois, M. Fawaz a souligné l'intérêt porté au secteur des télécoms et à celui de la pétrochimie.
En outre, il a annoncé que plusieurs sociétés seront récompensées lors du forum, notamment le groupe El Baraka, la Société bancaire arabe, et la société égyptienne Citadel Group.
Nacéra C. (La Tribune)
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