43e anniversaire de la révolution palestinienne
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43e anniversaire de la révolution palestinienne
C’est en présence de représentants de partis politiques et autres organisations algériennes qu’a eu lieu, hier, au Palais de la culture, à Alger, la célébration du 43e anniversaire de la révolution palestinienne. Parmi les présents à cette cérémonie, aux côtés d’Ahmed Abderrazik, l’ambassadeur palestinien à Alger, citons Saïd Abadou de l’ONM, Saïda Benhabylès, Cheïkh Bouamrane du Haut conseil islamique, Tayeb Lahouari de l’ONEC, Louisa Hanoune du PT, Khlifa M’barek du RND et Ben Hadid Abdelmadjid du FLN.
Le spectre de la division entre les Palestiniens a plané sur la cérémonie de célébration. En effet, si le représentant du Fatah palestinien, Faïz El-Aïdi, a chargé le Hamas quant à la responsabilité de l’escalade, les interventions des Algériens ont, dans leur majorité, appelé à l’unification des rangs pour un objectif commun, face à un ennemi commun.
Louisa Hanoune, dans son intervention, a appelé à l’unification des rangs pour l’institution d’un Etat palestinien laïque et démocratique. Qualifiant la période que vit le peuple palestinien de la plus sombre de son histoire sur l’unité des rangs, elle a estimé que le blocage est total.
Tout en excluant le soutien d’une quelconque partie, elle a indiqué que la situation est engendrée par «les plans de paix qui ont commencé avec la division de la Palestine, avec la complicité de régimes arabes». «Cet Etat n’existe pas dans la carte du grand Moyen-Orient (GMO) tracée en 2006, qui prévoit aussi la division de l’Irak et du Pakistan, qui vient de commencer», a-t-elle soutenu.
Evoquant les initiatives pour venir en aide à la cause palestinienne, la responsable du Parti des travailleurs a fait part du soutien de sa formation politique à la conférence qui se doit prochainement se tenir en France. Une initiative de plusieurs personnalités, à l’instar de Salah Salah, responsable des réfugiés à l’étranger et du représentant de la revue Hiwar, stipulant la création d’un Etat uni comportant Arabes et Juifs, selon Louisa Hanoune, qui a mentionné que la solution est nécessaire car toutes les autres ont montré leur échec.
Les interventions ont toutes rappelé le soutien de l’Algérie à la cause palestinienne. L’annonce de la naissance de l’Etat palestinien à Alger, en novembre 1988, est là pour en attester, a rappelé Saïd Abadou. La communauté palestinienne en Algérie, composée essentiellement de jeunes étudiants, était fortement présente à la cérémonie.
Elle a réitéré, à cette occasion, son engagement à poursuivre le combat jusqu’à la libération des territoires occupés.
Naïma B. (Le Jeune Indépendant)
Le spectre de la division entre les Palestiniens a plané sur la cérémonie de célébration. En effet, si le représentant du Fatah palestinien, Faïz El-Aïdi, a chargé le Hamas quant à la responsabilité de l’escalade, les interventions des Algériens ont, dans leur majorité, appelé à l’unification des rangs pour un objectif commun, face à un ennemi commun.
Louisa Hanoune, dans son intervention, a appelé à l’unification des rangs pour l’institution d’un Etat palestinien laïque et démocratique. Qualifiant la période que vit le peuple palestinien de la plus sombre de son histoire sur l’unité des rangs, elle a estimé que le blocage est total.
Tout en excluant le soutien d’une quelconque partie, elle a indiqué que la situation est engendrée par «les plans de paix qui ont commencé avec la division de la Palestine, avec la complicité de régimes arabes». «Cet Etat n’existe pas dans la carte du grand Moyen-Orient (GMO) tracée en 2006, qui prévoit aussi la division de l’Irak et du Pakistan, qui vient de commencer», a-t-elle soutenu.
Evoquant les initiatives pour venir en aide à la cause palestinienne, la responsable du Parti des travailleurs a fait part du soutien de sa formation politique à la conférence qui se doit prochainement se tenir en France. Une initiative de plusieurs personnalités, à l’instar de Salah Salah, responsable des réfugiés à l’étranger et du représentant de la revue Hiwar, stipulant la création d’un Etat uni comportant Arabes et Juifs, selon Louisa Hanoune, qui a mentionné que la solution est nécessaire car toutes les autres ont montré leur échec.
Les interventions ont toutes rappelé le soutien de l’Algérie à la cause palestinienne. L’annonce de la naissance de l’Etat palestinien à Alger, en novembre 1988, est là pour en attester, a rappelé Saïd Abadou. La communauté palestinienne en Algérie, composée essentiellement de jeunes étudiants, était fortement présente à la cérémonie.
Elle a réitéré, à cette occasion, son engagement à poursuivre le combat jusqu’à la libération des territoires occupés.
Naïma B. (Le Jeune Indépendant)
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