Le journaliste suédois Donald Boström hôte de l’Algérie
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Le journaliste suédois Donald Boström hôte de l’Algérie
Il a révélé le vol d’organes de Palestiniens par les sionistes
Le journaliste suédois Donald Boström hôte de l’Algérie
Le journaliste et photographe suédois Donald Boström fera une visite, aujourd’hui à la maison de la Presse de Kouba, à l’invitation du nouveau syndicat des journalistes affilié à l’UGTA. Une initiative qui se veut comme une reconnaissance envers le journaliste pour son engagement à défendre les questions humanitaires et justes, à sa tête la question palestinienne.
Donald Boström doit sa célébrité à son article publié le lundi 17 août 2009 par Aftonbladet, premier quotidien suédois, intitulé «On pille les organes de nos fils», dans lequel il accuse l’armée israélienne de tuer sciemment des Palestiniens pour récupérer leurs organes. L’article est illustré par une photographie montrant un jeune Palestinien de 19 ans, Bilal Ahmed Ghanan, tué en 1992 par des soldats israéliens alors qu’il leur lançait des pierres. Ils avaient emporté son corps et ne l’ont rendu à sa famille que cinq jours plus tard avec une suture allant de l’abdomen au menton.
La famille du jeune Palestinien, interrogée par Donald Boström, est convaincue que les enfants palestiniens sont tués par les Israéliens pour leurs organes : «Pourquoi garder les corps pendant au moins cinq jours avant de nous laisser les enterrer ?» Pour rappel, une centaine de Palestiniens ont été tués en 1992. Le trafic d’organes, relève l’enquête de Boström, est d’une ampleur internationale. Les pays soupçonnés de ces activités sont le Pakistan, les Philippines et la Chine, où les organes seraient prélevés sur des prisonniers exécutés. Mais le cas est autre en Palestine : les sionistes capturent des jeunes hommes qui leur servent comme au Pakistan et en Chine, de réserves d’organes avant d’être tués. Le journal Aftonbladet a inséré dans le même article de Boström une interview de Francis Delmonici, professeur de chirurgie de transplantation à l’université d’Harvard et membre du conseil d’administration de la Fondation nationale du rein, qui indique que le trafic d’organes, semblable à celui signalé en Israël, a lieu dans d’autres endroits de la planète. Il ajoute que selon des estimations, environ 10 % des 63 000 transplantations de rein dans le monde sont illégales.
Israël a été à maintes reprises critiqué pour sa gestion, contraire à l’éthique, des organes et des greffes. Voilà de graves révélations avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de justice à ouvrir une enquête sur ces crimes. Une chose est sûre : les sionistes seront tôt ou tard rattrapés par leur sinistre histoire.
Farid Abdeladim
L'Expression
Le journaliste suédois Donald Boström hôte de l’Algérie
Le journaliste et photographe suédois Donald Boström fera une visite, aujourd’hui à la maison de la Presse de Kouba, à l’invitation du nouveau syndicat des journalistes affilié à l’UGTA. Une initiative qui se veut comme une reconnaissance envers le journaliste pour son engagement à défendre les questions humanitaires et justes, à sa tête la question palestinienne.
Donald Boström doit sa célébrité à son article publié le lundi 17 août 2009 par Aftonbladet, premier quotidien suédois, intitulé «On pille les organes de nos fils», dans lequel il accuse l’armée israélienne de tuer sciemment des Palestiniens pour récupérer leurs organes. L’article est illustré par une photographie montrant un jeune Palestinien de 19 ans, Bilal Ahmed Ghanan, tué en 1992 par des soldats israéliens alors qu’il leur lançait des pierres. Ils avaient emporté son corps et ne l’ont rendu à sa famille que cinq jours plus tard avec une suture allant de l’abdomen au menton.
La famille du jeune Palestinien, interrogée par Donald Boström, est convaincue que les enfants palestiniens sont tués par les Israéliens pour leurs organes : «Pourquoi garder les corps pendant au moins cinq jours avant de nous laisser les enterrer ?» Pour rappel, une centaine de Palestiniens ont été tués en 1992. Le trafic d’organes, relève l’enquête de Boström, est d’une ampleur internationale. Les pays soupçonnés de ces activités sont le Pakistan, les Philippines et la Chine, où les organes seraient prélevés sur des prisonniers exécutés. Mais le cas est autre en Palestine : les sionistes capturent des jeunes hommes qui leur servent comme au Pakistan et en Chine, de réserves d’organes avant d’être tués. Le journal Aftonbladet a inséré dans le même article de Boström une interview de Francis Delmonici, professeur de chirurgie de transplantation à l’université d’Harvard et membre du conseil d’administration de la Fondation nationale du rein, qui indique que le trafic d’organes, semblable à celui signalé en Israël, a lieu dans d’autres endroits de la planète. Il ajoute que selon des estimations, environ 10 % des 63 000 transplantations de rein dans le monde sont illégales.
Israël a été à maintes reprises critiqué pour sa gestion, contraire à l’éthique, des organes et des greffes. Voilà de graves révélations avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de justice à ouvrir une enquête sur ces crimes. Une chose est sûre : les sionistes seront tôt ou tard rattrapés par leur sinistre histoire.
Farid Abdeladim
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